Pour notre escapade au Mexique, quitte à recevoir l’âne-athème des connaisseurs, nous partirons à brides abattues sur les chemins en quête d’âne-cdotes et ceci, espérons-le sans trop d’ âne- icroches.
Après une âne-alyse pointue, impossible de contourner Mexico et le Yucat-âne. Les ruines olmèques, toltèques, aztèques et mayas (tralala) n’étant pas âne-alogiques feront partie du voyage.
L’âne-omalie vient de notre déraisonnable désire d’âne-agogie !
Comme souvent chez nous, rien n’est âne-odin. Le Mexique est le pays d’Amérique qui compte le plus de ces âne-onymes (peut-être pas les plus fameux). Néanmoins, un festival âne-uel, un musée et même un sanctuaire leur est consacré à Otumba. N’étant pas à une âne-rie près, cette nouvelle destination à fait l’objet d’une âne-otation dans notre programme, et tant pis si cela le rend âne-archique.
Après six mois et cette dernière étape, nous âne-onerons sans doute l’espagnol. Triste et le vague à ... l’âne, nous quitterons donc le pays des burritos l’esprit chargé. Une fin heureuse pour nous autres, bêtes de somme.
Cap sur le Nord, où ils ne sont pas les derniers en matière d’« âne », allons confirmer notre âne-imisme.
On est f-âne, ou pas, l’êtes-vous ?
B.
PS : vous noterez, que nous avons saisi l’occasion pour âne-oblir notre âne-imale !